Pas plus tard que la semaine dernière le Journal de Montréal
titrait " Les futurs profs en
arrachent en français, " La Presse" elle: Examen de français pour les
futurs enseignants: des questions publiées sur Facebook.
Simplement pour dire qu'à peine 25% des étudiants au
baccalauréat en enseignement réussissent du premier coup le fameux test de
français.
Pas trop difficile à comprendre pourquoi, cette nouvelle
génération de "texteux et de pitonneux" écrivent au son.
Pour remédier à la situation voici ce que je suggère: après
toutes ces réformes en éducation pourquoi ne pas tout simplement réformer le
français.
Ce plan de réforme serait échelonné sur une période de cinq
ans dont en voici les modalités:
La première année, les sons actuellement distribués entre «
s », « x », « z »,
« c », « k » et « q » seront répartis entre « z » et « k »,
ze ki permettra de
zupprimer beaukoup de la konfuzion aktuelle.
La deuzième année, on remplazera le « ph » par « f », ze ki
aura pour effet de rakourzir zertains mots de kelke zink pour zent ou pluz.
La troizième année, des modifikazions plus draztikes seront
pozzibles,
notamment ne plus redoubler les lettres ki l'étaient ; touz
ont auzi admis le
prinzip de la zuprezion des « e » muets, tou kom d'autr letr
muet, zourz
éternel de konfuzion.
La katrièm ané, les gen zeron devenu rézeptif à dé
changement majeur, tel ke remplazer « g » avek « ch » ou avek « k », zelon les
ka, ze ki zimplifira davantach l'ékritur de touz.
Duran la zinkièm ané, le « b » zera remplazé par le « p »,
le « d » zera
remplazé par le « t » et le « v » zera apandoné au profi du
« f ». Éfitamen, on
kagnera ainzi pluzieur touch zur no klafié.
Un foi ze plan te zink an achefé, l'ortokraf zera tefenu
lochik, et lé chen pouron ze komprentr et komuniké !
Pourtant simple, non.
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