De retour de la pêche samedi, je m’arrête pour faire le plein dans une
station de service sur la 20 car cette dernière vend son essence à 1.22$ le
litre.
La différence est quand même appréciable car le plus bas que
j’ai vu ailleurs est 1.24 et le plus haut 1.36 le litre. 14 belles cennes le
litre, peau de chien on ne lève pas le nez sur ça.
Comme dans la chanson « Oui du monde y’en avait ».
Les voitures se mettent en files
derrières chaque pompe et attendent que la personne en avant ait terminé son
plein et est allé payer à l’intérieur, qu’il revienne et libère la place.
Comme dans la file à l’épicerie, j’ai poigné le jack pot. Le Ti-Clin en avant
de moi ne reviens pas, les autres files avancent mais pas moi et je suis le
suivant, niet le bozo a disparu dans la brume. Comme la patience n’est pas ma
plus grande qualité, je vous fais grâce du langage que j’utilise en
attendant, je bougonne, je tempête bref
je suis en TABAR….ouette.
Voilà mon imbécile qui reviens avec son petit sac de Tim
Hortons à la main, le tarla est allé se commander quelque chose et est demeuré
stationner aux pompes.
Un gros merci à ce retardé qui a retardé bien des gens.
La génération du me, myself and I à qui on leur doit tout, mériterait des coups de pieds là où le dos
perd son nom.
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