Quelque chose dont je n’étais pas au courant et qui
ressemble à du « déjà vu » c’est
ce qu’on appelle l'effet boomerang.
L’immigration en Algérie ou les arroseurs arrosés.
La presse algérienne se fait
l'écho de tensions entre la communauté chinoise installée en Algérie et la
population locale.
Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à
l'encontre de ces immigrés asiatiques et dont la violence a même poussé les
autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour
leur demander de mettre fin à ces pugilats. ....
Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.
On les a acceptés malgré leurs défauts,
aujourd'hui ils nous agressent chez nous, a déclaré Mounir à l'A.F.P.
Ils boivent de l'alcool
devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s'exhibent
parfois en short dans le quartier.
Ce sont des comportements contraires à notre religion et notre culture », a précisé Abdellah, un autre habitant du quartier.
À Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois. « Leurs produits sont vendus à des prix très compétitifs, ils sont ouverts tous
les jours, donc ils gagnent de l'argent,
ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il.
Ces mêmes Chinois qui sont implantés en France depuis des
lustres mais n'ont que rarement attisé le ressentiment des Français,
contrairement à d'autres communautés.
Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois :
ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue,
n'imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les
écoles,
n'exigent pas la construction de temples,
ne réclament pas d'horaires de piscine aménagés,
ne contredisent pas l'enseignement des sciences,
se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses,
ne profitent pas indûment des aides sociales., etc.,
Vous trouverez ici également un petit article intéressant
sur ce sujet.
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