lundi 18 avril 2011

FRUSTRATION: J’en vois dans ma soupe

Avez-vous remarqué l’invasion des ti-culs dans les commerciaux à la télé.

Que ce soit le petit garçon ou la petite fille d’une dizaine d’année qui me vante les mérites du moteur V6 de la Dodge Caravan, ils n’arriveront pas à me convaincre dans acheter une, « slaqué » moi la poulie simonac. Je comprends que les jeunes sont plus évolués aujourd’hui mais quand même à ce point.

La prochaine fois que vous vous assoirez devant le petit écran (bien qu’aujourd’hui petit écran c’est moins certain avec les 50 et quelques pouces des écrans de télé) vous remarquerez la quantité de pubs dans lesquels ce sont de petits Einstein qui nous suggère d’acheter tel ou tel produit.

Vous en verrez pour des annonces de toilettes, d’autos Dodge, Toyota, VolksWagen, la cabane à sucre, le journal de Montréal, les jus de légumes, l’assurance dépôt SADC pour n’en nommer que quelques unes prises en peu de temps.

Les adultes sont rendus trop niaiseux ou quoi ? C’est seulement ailleurs qu’on exploite les enfants, ici ce sont les adultes qu’on exploite via les enfants rois.

C’est Henry Lacordaire, homme religieux, politique et journaliste qui a dit :
« Qui touchera le cœur d'un homme si l'âme d'un enfant ne la touche pas ?"
Je rajouterai qui touchera le portefeuille de l’homme si les belles paroles des enfants en matière de publicité ne les touchent pas.

Bon c’est assez pour le moment je dois aller demander à mes petites-filles ce que je devrais acheter comme téléviseur.

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