mardi 4 octobre 2011

***RELÂCHE***

Oui la relâche est toujours en vigueur jusqu’au 1 novembre 2011,
à moins que je ne puisse pas partir faute de valise.

FRUSTRATION: Fait ta valise


Hier soir je termine ma valise pour mon départ de demain. Chaque petit coin est rempli, même le papier de toilette a trouvée sa place, il ne manque qu’à y rajouter mon rasoir et c’est prêt.
Je place le sac debout et je me prépare à la pesée question de m’assurer que je respecte le poids maximal. Je prends le sac par sa poignée et voilà que j’entends un bruit similaire au velcro que l’on sépare.

Oups!  C’est que je n’ai pas de velcro sur mon sac mais alors d’où peut bien provenir ce bruit. Horreur le côté du sac est ouvert tout le long de la couture et avec les entrailles ouvertes on peut voir tout son contenu. Non, dites-moi que je rêve, que ce n’est qu’un vilain cauchemar.
Merde je me pince et ça fait mal alors c’est la vérité mon sac est Kapout et il ne s’est même pas rendu à l’aéroport, un beau sac tout neuf.

Comme je l’ai acheté il y a un mois j’ai bien hâte de voir le service que je vais recevoir du magasin aujourd’hui.
Besoin de vous dire ce qu’il y a à l’horaire sur l’agenda ce matin et au retour à la maison avec un nouveau sac.

Les choses auraient pu être pire, imaginez que cela arrive à l’aéroport au départ ou pis encore à l’arrivée à New Delhi.

La Bourse

Pour mieux comprendre le fonctionnement de la BOURSE, il faut lire et relire l'histoire suivante...
 Un beau jour dans un petit village, arriva un homme bien vêtu qui s'installa dans le seul hôtel du patelin.

 Dès le lendemain, il publia dans le journal local une annonce disant qu'il était prêt à acheter tous les singes que lui apporteraient les villageois, pour la somme de 10$ chacun.
 Les villageois, sachant que la forêt environnante en était remplie, s'empressèrent de partir à la chasse aux singes.

 Comme il l'avait annoncé, l'homme acheta des centaines de singes qu'il paya 10$ chacun, tel que promis, sans broncher.
 Mais comme il y avait moins en moins de singes dans la forêt, et qu'il était devenu difficile de les capturer, les villageois n'étaient plus intéressés à fournir l'acheteur. L'étranger offrit alors 20$ pour chaque singe capturé. Les villageois retournèrent donc encore une fois dans la forêt à la recherche de singes.

 Les singes se faisant encore plus rares, le négociant éleva son offre jusqu'à 25$, et les villageois retournèrent à nouveau dans la forêt, capturant les quelques singes qui restaient.
 Alors qu'il était presqu'impossible d'en trouver encore, l'homme offrit 50$ pour chaque singe.

 Mais comme d'autres projets l'attendaient à la ville, le négociant laissa à son assistant le soin d'acheter les singes. 
Une fois l'homme reparti vers la ville, l'assistant convoqua les villageois devant  la cage remplie des milliers de singes que son patron avait achetés pour sa collection. Il leur dit alors : « Vous voyez ces singes, je vous les offre à 35$ chacun et quand mon chef reviendra de la ville, vous pourrez les lui revendre à 50$ chacun. »

 Les villageois joignirent donc toutes leurs économies, achetèrent les milliers de singes emprisonnés dans la grande cage, puis attendirent le retour du négociant.
 Depuis ce jour, le négociant et son assistant ne sont jamais revenus au village.

 La seule chose que voient maintenant les villageois, au milieu du village, c'est une grande cage remplie des singes qu'ils ont achetés en sacrifiant toutes les économies de leur vie.
 Ainsi vous avez là un excellent exemple de la façon dont fonctionnent le marché des valeurs et la bourse !

Jouer au plus fin avec ses parents

 Jouer au plus fin avec ses parents pas toujours la meilleure chose à faire.

 Un jour, mon fils est revenu de l'école secondaire en affichant un sourire narquois. Il se croyait alors assez intelligent pour me remettre à ma place.

Devine ce que j'ai appris en éthique et culture aujourd'hui? M.Right nous a enseigné plein de choses au sujet des lois, particulièrement sur la Charte des droits des enfants.
Ça dit que je n'ai pas à faire le ménage de ma chambre ni à me couper les cheveux.

Personne n'a le droit de m'obliger à penser de telle façon, à me taire ou à me dire quoi porter.
J'ai la liberté de religion et, peu importe ce que tu dis, je n'ai pas à m’incliner ni surtout à prier.

Je peux porter des boucles d'oreilles si ça me tente et me faire percer la langue et le nez.
Je peux lire et regarder les émissions que je veux et me faire tatouer de la tête aux pieds.

Si tu me donnes une claque, je peux déposer une plainte et tu seras poursuivie en cours criminelle; les marques serviront de preuve.
Ne t'avise pas de me toucher; mon corps m'appartient.

Les caresses et les becs ne sont qu'une autre forme d'exploitation des enfants.
Ne me fais pas la morale comme ta mère l'a fait pour toi. Ce serait juste une autre façon d'essayer de me contrôler.

Maman, ces droits sont pour moi et tu ne peux pas m'influencer ou j'appellerai la Division de la protection de la jeunesse. »


Bien sûr, mon premier réflexe aurait été de le jeter dehors, mais l'occasion de lui donner une leçon était plus tentante.  J'ai réfléchi un moment; il n'était pas question de ne pas réagir à ces propos. Enfin, j'ai souri à mon tour; il s'en prenait à une pro!


Le jour suivant, je l'ai emmené magasiner à la Saint-Vincent de Paul et je lui ai dit : « Choisis tout ce que tu veux, des chandails aux pantalons.  J'ai vérifié auprès de la DPJ et ils ont dit que je pouvais t'acheter n’importe quels souliers au lieu de choisir des Nike Air.
Oh! j'ai annulé le rendez-vous pour ton test de conduite. La DPJ ne se préoccupe pas de ça, c'est donc à moi de choisir ce qui convient le mieux. »

Un peu plus tard : « Non, on n'a pas le temps d'arrêter pour prendre une bouchée ou acheter quelque chose pour grignoter. En passant, demain tu pourras commencer à préparer tes sacs à lunch pour l’école. Garde ton appétit pour le souper; on mange du foie avec des oignons, le plat que je préfère. »
Quand il a demandé s'il pouvait louer un film pour regarder sur son appareil vidéo, j'ai répondu : « Désolée, mais j'ai vendu le VCR qu'il y avait dans ta chambre pour payer une partie des nouveaux pneus d'hiver.

J'ai aussi loué ta chambre; tu pourras coucher sur le divan. Selon la DPJ, on a juste besoin de te fournir un toit.
Ce ne sera plus nécessaire de t'acheter des vêtements mode et c'est moi qui vais décider ce qu'il y aura dans le frigo et ce qu'on mangera aux repas.

L'allocation qu'on te donnait servira dorénavant à m'acheter des petites choses.
J'ai aussi l'intention de vendre le sea-doo, le scooter et les patins à roues alignées qu'on t'avait achetés sans raison particulière. Tu peux vérifier dans la Charte des droits des parents; c'est en vigueur.


Mon doux, est-ce que tu pleures mon grand?
Pourquoi t'es tombé à genoux?
Implores-tu le Seigneur de t'aider plutôt que de faire appel à la DPJ?

Site du jour : Mon héros de film

Quel héros de film faites-vous ? Cliquez ici pour un petit test pour le savoir

Site du jour 2 : Beaux villages

Du deux pour un ce matin, voici de beaux villages qui ne demandent qu’à être découvert en cliquant ici.

Pensée du jour

Aussi con soit-elle, il arrive que la Lune éclipse le Soleil !