jeudi 28 février 2013

Même pas pour une « cenne noire » d’intelligence.



Depuis le 4 février c’est tolérance zéro envers la pièce de un cent, la vénérable pièce d'un sou noir doit disparaître.

Il était plus que temps, c’était quand même lourd à transporter dans les poches, on avait qu’à regarder les jeunes avec les pantalons avec le fond de culotte qui descendait en bas des genoux pour comprendre son poids social.

Depuis des lunes on a fait de même en Hollande et tout fonctionne sans problèmes mais à la différence qu’eux ont été clair.

Mais nous on n’est pas comme les autres, impossible d’implanter un système simple et efficace, je m’explique : Comment cela affectera notre quotidien? Tout dépend des commerces nous dit-on.
Comment ça tout dépendra des commerces ?

Simple, parce que nos Bozos gouvernemental (je le garde au singulier car le mot mental est adéquat)  donnent en effet carte blanche aux commerces et compte sur eux pour être «équitable» et «transparent». (C’est vrai que les gouvernements en sont incapables d’être équitables et transparents).

Vous planifiez acheter un café avec vos copains? Pour une boisson chaude valant 1,22$, votre brûlerie préférée peut désormais exiger 1,20$. Mais elle peut tout autant vous demander en toute légalité 1,25$.
Coudon c’est 1,20 ou 1,25, j’aimerais le savoir avant.

Viarge, il me semble que t’as pas besoin de 10 ans d’Université pour simplement dire quand ça coûte 21 ou 22 sous c’est alors 20 sous et quand c’est 23 ou 24 c’est 25. Même Einstein aurait compris cela.

Comment voulez-vous que le gouvernement mette ses culottes pour prendre de grandes décisions quand avec quelque chose d’aussi simplet on ne peut même être clair et établir les standards et qu’on laisse la porte grande ouverte à l’abus. (Syndrome du je ne suis pas responsable)

Une colonne vertébrale qui ne vaut pas « cinq cennes »,  à disparaître aussi dans vos poches bientôt?

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