Quelques extraits de rapports de police publiés dans une
revue annuelle des
policiers de la Sûreté du Québec...
Il lui bottait le derrière à tour de bras.
Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de
couteau au bras.
L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus
toute sa lucidité.
Le motif du vol était le meurtre.
Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands
signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.
Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit
à s'enfuir sans difficulté.
Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux
cambrioleurs la pénétrèrent par le devant.
Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.
Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.
La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents
dès son retour.
La femme essayait de cacher son identité derrière ses
larmes.
Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5
cadavres des 2 disparus.
Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était
pas difficile d'y obéir.
Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.
Le pendu est mort noyé.
Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses
facultés.
Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler
la police.
Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en
collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait
s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.
Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait
sûrement jamais eu lieu.
L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait
pas s'entendre très bien avec elle.
Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à
constater.
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû
le relâcher,
faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses
explications.
C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il
neigeait.
L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était en fait qu'un
tissu de mensonges.
Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous
dévisager avec ses propres yeux.
Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est enfui à toutes jambes,
malgré sa jambe artificielle qui s'était décrochée.
Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la
victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.
L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des
lèvres.
La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.
Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des
dents dans les oreilles.
Le défunt a formellement reconnu son agresseur.
La mer était sa terre natale.
Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le
cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
Le pendu est mort noyé.
L'homme avait suffisamment gardé la tête froide pour ranger
soigneusement les morceaux de corps au congélateur.
Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un
accident identique l'an dernier.
Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même
dans la rivière.
La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu'à l'auto
patrouille en copulant sur une jambe.
Comme il devait être pris en charge au plus vite par un
asile d'aliénés,
il a été conduit au poste de police.
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