J’aime la nourriture qui est épicée, bien, légèrement
épicée, le 25 février 2010, j’écrivais mon blogue sur l’échelle de Scoville ou
comment anéantir ses papilles en toutes connaissances de cause.
Vendredi lors d’une petite escape aller-retour à Ottawa,
j’ai découvert un magasin qui ne vend que des sauces piquantes.
Des sauces pour tous les goûts, douces, médiums, fortes,
très fortes et extrêmes (extrême, synonyme d’avoir le feu au cul). Le commis
qui m’a répondu et initié aux différentes sauces était très gentil et
connaissait vraiment son matériel.
Après avoir regardé, goûté et discuté mon choix s’est arrêté
sur « The hottest fuckin’ sauce » une sauce extrême (que je n’ai pas
encore goûté). Là où j’ai commencé à avoir des doutes sur mon choix est lorsque
le commis m’a demandé de signer une décharge, comme quoi je ne pouvais pas
revenir contre le magasin et que j’utiliserais cette sauce à mes propres
risques et périls. De quoi être rassurant et vous auriez dû voir sa réaction
lorsque je lui ai mentionné que je ne voulais pas boire toute la bouteille mais
seulement une partie.
Finalement pour vraiment me rassurer sur mon choix, il m’a
conseillé que si j’étais pour en utiliser dans une recette allant au four de
l’utiliser sous et non pas sur le dessus des aliments car cela pourrait être
dangereux pour les yeux lors de l’ouverture du four.
Lola apporte mon habit de scaphandre, le souper semble être
prêt.
Si j’ai bien compris et je compare, notre Antipasto à tartiner peut très facilement être utilisé pour se brosser les dents.
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