mardi 15 janvier 2013

Seul au monde



De retour de la pêche samedi,  je m’arrête pour faire le plein dans une station de service sur la 20 car cette dernière vend son essence à 1.22$ le litre.

La différence est quand même appréciable car le plus bas que j’ai vu ailleurs est 1.24 et le plus haut 1.36 le litre. 14 belles cennes le litre, peau de chien on ne lève pas le nez sur ça.
Comme dans la chanson « Oui du monde y’en avait ». Les voitures se  mettent en files derrières chaque pompe et attendent que la personne en avant ait terminé son plein et est allé payer à l’intérieur, qu’il revienne et libère la place.

Comme dans la file à l’épicerie,  j’ai poigné le jack pot. Le Ti-Clin en avant de moi ne reviens pas, les autres files avancent mais pas moi et je suis le suivant, niet le bozo a disparu dans la brume. Comme la patience n’est pas ma plus grande qualité, je vous fais grâce du langage que j’utilise en attendant,  je bougonne, je tempête bref je suis en TABAR….ouette.

Voilà mon imbécile qui reviens avec son petit sac de Tim Hortons à la main, le tarla est allé se commander quelque chose et est demeuré stationner aux pompes.

Un gros merci à ce retardé qui a retardé bien des gens.

La génération du me, myself and I à qui on leur doit tout,  mériterait des coups de pieds là où le dos perd son nom.

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