lundi 23 avril 2018

Sécurité de la mauvaise cible


Dans les nouvelles la semaine dernière vous avez probablement entendu parler de l’agression sexuelle qu’a subie une étudiante de l’UQAM dans la journée de samedi.

Les médias sont tombés à pieds joints sur la sécurité qui existe à l’Université les fins de semaine pour ne pas dire en général.

L’étudiante a été agressée par un individu sous l’influence du crac et pas une seule fois, il a été question que le problème était peut-être plus du côté de ce dérangé, de ce drogué.  Le problème était la sécurité de l’université et non pas l’agresseur.

L’université n’est pas une institution à sécurité maximum, ce n’est pas une prison mais un établissement d’éducation publique.

Quand va-t-on commencé à punir les vrais coupables et non pas songer à mettre plus en plus de sécurité à chaque fois qu’une chose de la sorte se produit.

Une jeune fille de 2 ans à Québec tué par une droguée, à qui la faute ? À la télé ce que l’on voit affiché « où était la DPJ ? » C’est toujours la faute de quelqu’un d’autre. La responsabilité individuelle semble avoir complètement disparue.

Arrêtons les condamnations  bonbons, arrêtons l’hémorragie d’où les problèmes émergent ainsi le mot LIBERTÉ prendra tout son vrai sens et de non pas mettre de plus en plus de restrictions partout.

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