Dans les nouvelles la semaine dernière vous avez
probablement entendu parler de l’agression sexuelle qu’a subie une étudiante de
l’UQAM dans la journée de samedi.
Les médias sont tombés à pieds joints sur la sécurité qui existe
à l’Université les fins de semaine pour ne pas dire en général.
L’étudiante a été agressée par un individu sous l’influence
du crac et pas une seule fois, il a été question que le problème était
peut-être plus du côté de ce dérangé, de ce drogué. Le problème était la sécurité de l’université
et non pas l’agresseur.
L’université n’est pas une institution à sécurité maximum,
ce n’est pas une prison mais un établissement d’éducation publique.
Quand va-t-on commencé à punir les vrais coupables et non pas
songer à mettre plus en plus de sécurité à chaque fois qu’une chose de la sorte
se produit.
Une jeune fille de 2 ans à Québec tué par une droguée, à qui
la faute ? À la télé ce que l’on voit affiché « où était la DPJ ? »
C’est toujours la faute de quelqu’un d’autre. La responsabilité individuelle
semble avoir complètement disparue.
Arrêtons les condamnations
bonbons, arrêtons l’hémorragie d’où les problèmes émergent ainsi le mot
LIBERTÉ prendra tout son vrai sens et de non pas mettre de plus en plus de
restrictions partout.
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