Si l’abominable homme des neiges n’existe pas l’abominable voisin des neiges lui existe.
Une amie qui demeure en banlieue de St-Jean-sur-Richelieu
plus précisément à Montréal m’a fait parvenir une couple de photos sur le
comportement d’homme des cavernes de son voisin suite à la dernière tempête.
Besoin de dire qu’à Montréal le stationnement en hiver c’est
l’Enfer, non pas à cause du feu mais de la neige. Chacun a son petit coin pour
stationner sa voiture et c’est plus précieux que de l’or en barre. Touche pas à
ma zone vitale.
C’est certain qu’après une bordée comme on a reçu les gens
ne savent où donner de la pelle à moins de la bouffer on fait quoi avec cette
marde blanche là.
Simple, pendant que la voisine est au travail pourquoi ne
pas lui faire une agréable surprise et remplir son espace de stationnement.
C’est certain que la Madame va être contente à son retour.
Les autres on s’en fou ce qui est important pour ces voisins
« à beau être minable » ce
sont les « me, myself and I » comme dirait Joe Bloe.
Et dire que dans le grand village il y en a qui à chaque
année braille pour avoir de la neige, j’aimerais que l’on m’explique le
pourquoi. À environ un million du centimètre tombé, il me semble que c’est déjà
une bonne raison pour en souhaiter le moins possible.
Mesemble non?
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