samedi 8 mai 2010

PETIT BONHEUR : Flatulences suite et fin


Le droit de péter défendu.

Un groupe d’avocats américains a entreprit en 1993 une action juridique pour étendre les lois répressives concernant le tabagisme à la flatulence publique.

Cette action est née d’un incident dans un restaurant. Un certain Norlam avait avalé plusieurs pilules de soja et a émis de nombreux pets très malodorants dans un restaurant new-yorkais. L’odeur était si insupportable que la police a dû intervenir pour l’expulser du restaurant.

Mais de nombreux citoyens ont réagi pour défendre la liberté de péter.

L’histoire a été si loin que les juristes pro-pétomanes ont envisagé de défendre cette liberté devant la justice américaine en invoquant que la liberté d’évacuation des gaz devait être protégée par le 1er et 4e amendement de la Constitution.

En 1996, les états-majors de l’armée américaine ont dû reconsidérer certaines habitudes bien ancrées en raison du nombre croissant de femmes enrôlées. Il est donc devenu interdit d’employer un langage graveleux ou ordurier, d’avoir un comportement sexiste, d’afficher son animosité pour les homosexuels des deux sexes et également de péter de manière sonore dans les chambrées, les rangs ou les cantines.

Les soldats américains peuvent donc péter mais en silence.

Les plus grands pétomanes sont italiens et français. Vers 1900, Joseph Pujol se produisait au Moulin-Rouge avec beaucoup de succès. Pendant plus d’une heure, il faisait avec ses pets toutes sortes de modulations. Il pouvait ainsi « péter » La Marseillaise. (Voir ce Blog, vendredi 9 avril 2010)

Voilà, je suis content de vous avoir fourni des informations aussi cruciales sur les flatulences.

Encore une fois je sème à tout VENT.

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