J'ai reçu, quelques
observations d'analyses sur l'Islam par des hommes d'époques, d'origines et
d'esprits aussi divers.
On peut être d'accord ou pas mais il y a belle lurette que
certaines personnes se sont prononcées sur le sujet.
Bossuet (1627 – 1704) « Islam ! Cette religion monstrueuse a
pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa
tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et
rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. »
Chateaubriand (1768 – 1848) « Tous les germes de la
destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. »
Condorcet (1743 – 1794) « La religion de Mahomet, la plus
simple dans ses dogmes, […] Semble condamner à un esclavage éternel, à une
incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son
empire. »
Arthur Schopenhauer (1788 – 1860) « Le Coran, ce méchant
livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1 200 ans le
besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à
leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme
capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes
conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du
théisme. […] Je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. »
Alexis de Tocqueville (1805 – 1859) « L’islam, c’est la
polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un
gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette
toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. […] J’ai
beaucoup étudié le Coran […] Je vous avoue que je suis sorti de cette étude
avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de
religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens,
la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman
[…] je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès. »
Alfred de Vigny (1797 – 1863) « Si l’on préfère la vie à la
mort, on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte
le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le
professent périssent sils ne changent de culte. »
Mgr Louis Pavy, évêque d’Alger (1805 – 1866) « Celui qui
prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des lettres de créance,
c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie.
Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang
qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers
du globe alors connu. »
Joseph Ernest Renan (1823 – 1892) « L’islam est contraire à
l’esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis
un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. »
Winston Churchill (1874-1965) « L’influence de cette
religion paralyse le développement social de ses fidèles […] Il n’existe pas de
plus puissante force rétrograde dans le monde. […] Si la Chrétienté n’était
protégée par les bras puissants de la science, la civilisation de l’Europe
moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. »
Heinrich Himmler, Reichführer SS (1900 – 1945) « Je n’ai
rien contre l’islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire
les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font
tuer sur le champ de bataille ; bref, c’est une religion très pratique et
séduisante pour un soldat. »
Hermann Von Keyserling (1880 – 1946) « Je fus impressionné
par la parenté du national-socialisme avec l’islam, et cette impression n’a
fait que se préciser et s’affermir depuis. »
Le grand Mufti de Jérusalem (en 1943) « Les nazis sont les
meilleurs amis de l’islam. »
André Malraux (le 3 juin 1956, paru dans l'hebdomadaire
américain Time) « C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de
la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette
montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du
temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. À
l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par
des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales
ou ouvrières n’ont trouvé la réponse.
De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère
préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît
d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique
si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée
et appliquée par un véritable homme d’État. Les données actuelles du problème
portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir
successivement à travers le monde arabe. Quand je dis “musulmane” je pense
moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la
doctrine de Mahomet. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à
endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps.
Actuellement, il est trop tard ! Les “misérables” ont d’ailleurs peu à perdre.
Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane.
Leur sort sans doute restera inchangé.
Nous avons d'eux une conception trop occidentale. Aux
bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir
de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce
processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la
gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. » Cet entretien est
donc paru il y a près de... 60 ans.
Visionnaire et prophétique, Malraux ? Sans aucun doute.
Mais
que dire de ceux qui, en 2014, refusent encore l'évidence
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