Mardi 24 février [2015], Rania El-Alloul devait comparaître
au tribunal pour récupérer son véhicule saisi par la Société de l’assurance
automobile du Québec parce que son fils l’avait conduit en dépit de la
suspension de son permis.
Mais voilà que la
juge Éliana Marengo a refusé d’entendre son témoignage, à moins qu’elle ne
retire son hijab, ce que Mme El-Alloul n’a pas voulu faire, alléguant que ce
foulard faisait partie de son identité.
Voici donc que cette immigrante d’origine koweïtienne, mère
monoparentale de trois enfants, arrivée au Canada en 2003 et devenue citoyenne
canadienne depuis 2007 devient la figure emblématique des femmes musulmanes
vivant au Canada qui veulent avoir le «droit» de se soumettre à cette pratique
moyenâgeuse de port du hijab qui les distingue comme musulmanes même dans un
environnement supposément neutre comme un tribunal.
Mme El-Alloul a décidé de porter plainte au Conseil de la
Magistrature pour défendre son «droit» de se couvrir la tête.
Elle n’a pas fait une seule journée de travail de sa vie
Voilà donc une femme
musulmane qui décide de s’installer en pays mécréant pour y élever ses trois
enfants aux frais des contribuables mécréants car elle vit sur l’aide sociale
(et les allocations familiales) n’ayant pas fait une seule journée de travail
de sa vie.
La juge mécréante l’a donc «humiliée» en lui enjoignant
d’enlever son hijab, vêtement jugé inapproprié dans son tribunal.
L’indépendance des juges est telle qu’en fait, la Juge Marengo était
parfaitement dans son droit en exigeant que Mme El-Alloul retire son foulard
islamique.
Une collecte de fonds a été organisée par des sympathisants
canadiens de Mme El-Alloul, tant et si bien qu’une somme de 50 000 $
[canadiens] a été ramassée pour lui payer une nouvelle voiture.
Mais comme la dame vit des chèques de l’aide sociale, elle a
préféré renoncer à cet argent car elle sait très bien qu’il serait compté comme
un revenu et soustrait de ses prestations.
Évidemment les deux nigauds Trudeau et Mulcair ont critiqué
la décision de la juge Marengo qu’ils considèrent comme une personne
intolérante, islamophobe, voire raciste!
Le fait que Mme El-Alloul qui vit depuis 12 ans au Québec
n’ait même pas pris la peine d’apprendre le français en dit long sur le respect
qu’elle porte aux Québécois mécréants …
Je ne veux pas m’acharner sur une pauvre immigrante (le Bien
Être Social ce n’est pas la richesse), mais je me demande comment et pourquoi
une Koweïtienne ne parlant pas un mot de français et qui semble avoir été
larguée par le père de ses enfants, a été acceptée comme immigrante au Québec
alors que, visiblement, elle n’est pas qualifiée pour se trouver un emploi
(puisqu’on lui accorde l’aide sociale) et refuse de s’intégrer à la société
québécoise?
Et c’est cette femme qui défie la juge Marengo?
On aura tout vu.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali
Marc pour Dreuz.info
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire