Le premier avril dernier et non ce n’était pas un poisson,
un homme qui a brûlé une fillette de cinq ans 25 fois avec une cigarette a reçu
une peine plus clémente en raison de «la réalité autochtone».
Pardon? La réalité de
kessé?
Depuis que je suis ti-cul on ne cesse de répéter qu’il n’y a
qu’une justice pour tous, c’est peut-être vrai mais pas au Canada du moins.
L’espèce de « trou cul » sur deux pattes a été déclaré
coupable et condamné à 15 mois de prison (seulement) pour avoir brûlé une fillette de cinq ans à
25 reprises avec une cigarette et deux fois avec un briquet en 2011. Elle a été
brûlée au troisième degré sur le visage, le dos, les bras, les jambes et la
vulve rien de moins.
Pas besoin de vous dire que les cicatrices seront
permanentes.
L’avocat de la défense a fait valoir les arrêts Gladue et
Ipeelee, qui stipulent qu’un juge doit tenir compte des problèmes
socioéconomiques des communautés autochtones dans l’attribution d’une peine à
un délinquant.
Une justice pour tous sauf…..pour…
L’individu pour ne pas dire l’animal a donc été considéré comme une «victime
collatérale» des pensionnats autochtones.
Et ensuite on essaie de nous convaincre que le citoyen ne
devrait pas perdre confiance dans le système judiciaire.
À ce que je voie clémence rime avec démence Monsieur le sans
JUGEment
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