mercredi 18 novembre 2015

D'où vont venir les bidous


D'un côté on nous dit qu'il n'y a pas de problème pour recevoir près de 6,000 réfugiés, car nous vivons dans un pays riche et ce pas plus tard qu'hier à Denis Levesque, le Québec parle.

Par la suite au bulletin d'informations  (moins d'une heure plus tard) vous l'aurez deviné, les banques alimentaires sont en manquent car les demandes n'ont jamais été aussi grandes à cause de la pauvreté.

Si je lis entre les lignes, on aura des sous pour nourrir les réfugiés et on vous sollicitera pour prendre soin des nôtres.

Charité bien ordonnée comme par soi-même ?

Les Québécois ont de la difficulté à joindre les deux bouts, chômage, inflation, "surtaxage" ce qui fait en sorte que justement plus gens font appel à ces banques alimentaires et à l'aide sociale.

Le maire Tremblay (Lâ, lâ) a touché le point sensible que tous ont tentés d'éviter ou ne pouvaient pas y répondre.

Qui va payer ?

Pourtant simple comme question mais également simple comme réponse. Placez-vous devant un miroir et vous aurez votre réponse.

Combien de gens n'ont pas de médecin de famille ou doivent attendre avec des délais irréels pour finalement pouvoir voir leur docteur.

Ces gens ne travailleront sûrement pas, alors on les loge où ? Qui les nourrira ? Et il faudra bien sûr que ce soit de la nourriture Hallal. Qui les vêtira, notre système d'éducation ne fournit pas aux demandes et on y ajoute des gens avec des besoins spécifiques.  Il y aura donc des coûts à long terme et encore la question terre à terre d'où viendra les bidous.

Je ne suis pas contre l'idée d'accepter des réfugiés mais pensez-y, on ne sort pas quelqu'un d'la marde pour le mettre dans le fumier.



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