Les anthropologues de l'Université du Québec ont pu
identifier de nouveaux spécimens d'une variante de l'être humain connue sous le
nom scientifique "homos-erectus-cul bas ".
Ces spécimens sont le résultat de la dérive génétique due à
une position et des gestes saccadés des extrémités supérieures.
De nouvelles recherches ont montré un raccourcissement des
jambes et un endurcissement du crâne ainsi que d’une diminution du système
nerveux et du volume du cerveau (1/10 du volume en comparaison avec l'être
humain normal).
Ceci explique pourquoi leurs casquettes sont trop grandes et
reposent sur les oreilles.
C’est aussi la raison pour laquelle ils portent la visière
derrière, sinon ils ne verraient rien.
Avoir les jambes courtes et le corps à proximité du sol
produit une hypertrophie des organes génitaux.
Cela pourrait expliquer leurs difficultés à établir une
communication verbale intelligente, déjà très pénalisée par le rétrécissement
inéluctable du cerveau.
Au niveau social, on note un manque de langage verbal et les
quelques expressions que les scientifiques ont observées sont inarticulées et
inintelligibles.
L'incapacité à une marche normale est permanente de sorte
qu'ils se déplacent avec des mouvements désordonnés des pieds et des mains.
Les premiers exemplaires ont été trouvés pour la première
fois en Amérique mais ils ont rapidement colonisé les autres continents.
Ils sont actuellement très répandus dans la faune urbaine de
nos villes.
Un de leurs problèmes est qu’ils ne peuvent plus se gratter
le derrière, car ils sont badukus.
Pour uriner c’est la même chose, leurs bras sont trop
courts.
Ils ne pourront plus jamais retourner dans leur pays
d’origine car leurs jambes sont trop courtes !
Comme ils sont fainéants, leurs bras commencent à
s’atrophier et leurs pieds à se palmer, d’où une façon de marcher qui
s’apparente à celle des pingouins.
Mais pour des raisons que l’on ignore ils n’aiment pas
l’eau...
Ils ont d’énormes problèmes sexuels.
Ils parlent sans cesse de vouloir “niquer” car ils n’y
parviennent pas puisque leurs attributs traînent par terre et qu’ils ne peuvent
s’aider manuellement.
Cette race est vraiment à part. Ils ne peuvent copuler qu’entre
eux, entre badukus, ce qui en rajoute à leurs problèmes physiques et
intellectuels de par leur consanguinité à haute dose.
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