samedi 27 novembre 2010

CONNAÎT-SENS : Capote pas !


Combien tu chausses ? Ben combien tu ….chausses le déchaussé.

Il existe un mystère sur la taille des préservatifs.

Comme vous le savez, le préservatif ou condom familièrement appelé capote est le seul moyen de se préserver des infections sexuellement transmissibles (IST). Que le préservatif soit masculin ou féminin, il sert également comme contraceptif.

Officiellement, le préservatif est né en Égypte 3000 ans avant notre ère.

Avant l’invention du préservatif en latex en 1880, les capotes se présentaient sous la forme d’étuis péniens, fabriqués généralement avec des intestins d’animaux. Les soldats et l’aristocratie pouvaient ainsi se préserver des maladies vénériennes.

Si le sida n’existait pas encore, la syphilis faisait de véritables ravages.

Bien plus tard, au Xe siècle, les Chinois améliorent le préservatif et des modèles en papier de soie huilé font leur apparition.

Des matériaux divers ont été utilisés un peu partout dans le monde : écailles de tortues en Asie, velours, soie, cuir …

Sous la Renaissance, il était de bon ton de maintenir le préservatif masculin avec un joli ruban de couleur.

On constate que durant la longue histoire du préservatif, il y a toujours eu deux camps opposés. Ceux qui le préconisaient pour se prémunir des maladies sexuellement transmissibles (MST) et ceux qui voyaient dans cet objet un encouragement à la débauche.

L’intervention récente du pape en Afrique, préconisant de ne pas utiliser de préservatif, démontre que le débat n’a jamais été clos et soudain petite ouverture la semaine dernière du pape cette fois sur l’utilisation du condom dans certain cas.

Le British Museum expose d’anciennes capotes. Certaines ont 350 ans. Elles ont été fabriquées avec des boyaux de mouton.

Un mystère entoure les différents modèles présentés. Les scientifiques anglais ne l’ont toujours pas résolu.

Les capotes du 17e siècle sont plus étroites de 18,5 mm que celles du 16e siècle. Les modèles du 18e siècle présentent par contre une nette augmentation de la largeur, 11,5 mm en plus.
D’après des études très sérieuses, la largeur moyenne du pénis n’a subi aucune modification notable qui pourrait expliquer la différence de diamètre.

Je vous laisse donc méditer sur cette intrigue palpitante et si vous trouvez la solution à ce mystère, je dois franchement vous avouer que je ne capote pas de l’apprendre.

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