Lorsqu’on sort de l’aéroport la réalité nous frappe, d’abord même si on est au mois d’octobre et qu’il est près de 22h00 c’est chaud et humide. Ceux qui me connaissent savent que pour moi chaleur et humidité est presque synonyme de jouissance dont je ne trouve pas cela désagréable tout au contraire.
On se serait cru à Hawaï, réception avec un collier de fleur, bouteille d’eau et désinfectant pour les mains, avec du recul on comprend mieux leurs significations, lors de notre séjour on remarquera que les fleurs font souvent gages d’offrandes, l’eau afin d’éviter la déshydratation avec la chaleur est un must et comme on ne peut dire que la propreté est omniprésente on comprend mieux le pourquoi du désinfectant.
Pour notre première soirée nous sommes logés dans un hôtel 4 étoiles, il faut bien comprendre qu’un 4 étoiles Indien et Canadien ne s’équivaut pas du tout, les valises déposées, quelques uns d’entre nous quittons l’hôtel afin d’explorer les alentours, à peine avons-nous franchi une centaine de mètres que des sons et des formes attirent notre attention.
Des machines à bacon fouillent dans les déchets, sommes-nous bien dans une ville ou à la campagne pourtant New Delhi New parfois francisée en Nouvelle-Delhi est la capitale de l'Inde, elle comptait près de 322 000 habitants en 2006. Il s'agit d'une des trois municipalités (avec Delhi et le Cantonnement de Delhi) du Territoire de la Capitale nationale de Delhi dont la population s'élevait à plus de 16 millions d'habitant en 2011, ce qui en fait la deuxième agglomération du pays après Mumbai et avant Kolkata, donc c’est certain on est en ville.
Bon revenons à nos cochons, déjà on peut sentir et voir la différence, nous on a des poubelles eux les déchets sont simplement là, au pis ici ce sont des chats qui fouillent nos poubelles eux tout simplement des porcs, tout excités on avait l’air de gens qui voyaient des cochons pour la première fois. C’est vrai qu’au Reine Élisabeth à Montréal les porcs se voient seulement rôtis et entre des patates brunes et les « tites » carottes sur une assiette
De l’aéroport aux porcs cela a été quand même un bon départ.
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