Quel spectacle que de voir cette petite ile du haut des airs, qui dit petite ile dit aussi petit aéroport et voilà qu’on se pose en douceur tel un gros papillon sur une fleur de macadam.
Quand tu pars de Montréal, le gros coat « sul dos » avec de la neige dans les sapins et tu aperçois les palmiers et des gens en t-shirts… jouissance totale.
Le gros moineau de la compagnie Sunwing un coup arrêté débarque environ 250 vacanciers, le sac au dos, le cœur joyeux, bronze par-ciiiiiiii, bronze par-lààààà comme dans la chanson.
Heureusement que le soleil est de la partie car comme vous savez dans les pays chauds on piétine le tarmac avant de faire notre entrée dans l’aérogare.
J’ai apporté de la crème solaire, crème anti-moustiques, costumes de bain et brosse à dent mais j’ai oublié le principal …..LA PATIENCE. En vacances je n’en voyais pas la nécessité jusqu’à l’on pénètre à l’intérieur.
À bord de l’appareil on nous a fait remplir un « ti » papier afin de faciliter notre passage aux douanes lequel bien sûr n’est d’aucune valeur (c’est comme ça à matin que le douanier file) aux douanes et on se fait un plaisir de nous en remettre un beau tout neuf que l’on doit remplir debout tasser comme des sardines dans l’huile à bronzer.
250 passagers, un douanier ou diable ai-je laissé ma patience ? On fini par passer la première étape et c’est la récupération des bagages et oh surprise on doit à nouveau les passer au scanner. On ne fait pas confiance aux préposés aux bagages ou quoi.
À la sortie de l’aéroport un peu de confusion, car des préposés veulent savoir à quel Resort que nous avons choisi de mettre notre destinée entre leurs mains pour la prochaine semaine, on s’occupe de nos bagages en nous disant que vous les retrouverez à la porte de votre chambre puis on nous dirige vers un minibus qui fera la distribution des passagers aux différents hôtels sur son chemin.
STRESSANT les vacances mais avec un regard en arrière outre les douanes qui laissent à désirer l’accueil était quand même axé sur notre bien-être.
Demain, les premiers regards sur le pays…Ayoye et l’arrivée à l’hôtel.
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