Lorsque vous pénétrez dans l’enceinte du restaurant et que vous poussez sur l’espèce de pièce de bois mi-clôture, mi-porte, attention où vous mettez les pieds car quelques planches sont manquantes à la galerie.
Le décor est assez rustique merci, l’électricité bien qu’écologique est assez rudimentaire (voir photo)
Parlant écologie les toilettes extérieures le sont au plus haut point car c’est vous qui contrôler la quantité d’eau dont vous avez besoin grâce à la chaudière rempli d’eau que vous retrouverez près de la toilette. Les odeurs? Soyez sans crainte car les immenses trous dans les toilettes permettent une aération tout ce qu’il y a de plus adéquat.
Vous voulez vous lavez les mains, que demander de plus qu’un lavabo avec vu sur la mer. (Voir photo du chauffeur de taxi en pleine action), encore mieux si vos pantalons sont en ratine pour vous pourrez alors les essuyer.
De la terrasse la vue est superbe, l’océan avec ses couleurs de bleues changeant jusqu’au turquoise est à vous en couper le souffle. Petit hic les vidanges, bidons de plastiques et sacs de même nature en quantité plus qu’appréciable viennent s’harmoniser avec l’ambiance du Socrefice sacrifice.
Sur la table pas question de nappe, napperon on est chanceux la peinture ne semble pas plus vieille que d’une trentaine d’années.
L’assiette arrive (voir photo) et honnêtement le poisson était succulent, du rouget ? Je ne le saurai jamais mais mon corps a bien accepté le tout mieux que la quarantaine de téquilas en tout cas.
Lundi, après avoir mangé du poisson à mon tour de les faire manger.
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