Partout dans le monde les gens célèbrent la venue de la nouvelle année et l’ile de Roatan n’est pas différente.
On a d’abord eu droit à un spectacle sur la plage, il en faut pour tout les goûts je suppose. Pour le moins coloré on a eu droit à ce que je crois (du moins ça pouvait ressembler à ça) être un peu de leur histoire via des danses. Un peu comme les touristes qui viennent nous voir et que l’on leur fait subir nos danses « touch tones « pardon autochtones si vous voyez le genre. Entre les danses on joue avec le feu c’est vraiment le cas de le dire. Faut être drôlement habile ou drôlement à jeun pour ne pas se bruler.
Il faut se rappeler que nous sommes sur la plage le 31 décembre, qu’entre les orteils c’est du sable et non pas de la slush, juste ça, termine mauditement bien une année.
Plus le moment tant attendu approche, il y a des signes qui ne mentent pas, on vous fou un verre de champagne dans les mains, de drôles de chapeaux font leur apparition et la musique s’amplifie et tout ça toujours sur la plage.
J’en n’étais pas à ma première fin d’année mais par contre c’était la première fois que je la voyais se terminer ainsi, juste avant le décompte traditionnel, on met le feu à l’effigie de l’année 2010. On met le feu à 2010 et l’année disparaît lentement pour faire place au traditionnel décompte de la nouvelle année qui débute par l’allumage du 2011 et le reste vous connaissez.
Demain, embarque dans boîte
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