mercredi 12 janvier 2011

PETIT BONHEUR : Roatan (3) Le choc


On peut sentir la bonne humeur de tous dans le minibus qui nous amène à l’hôtel, ça sent la plage, le pina colada pour bientôt itou à plein nez.

De l’aéroport à l’hôtel Henry Morgan le trajet est d’environ une trentaine de minutes. C’est fou comme on peut avoir des idées préconçues, j’imaginais l’ile tout plate avec des routes toute droites. Au contraire il n’y a qu’une seule route pavée qui traverse l’ile d’un bout à l’autre (La « Maine » quoi) est très sinueuse et des côtes en voulez-vous en v’là.

On traverse la capitale Coxen hole (j’y reviendrai un autre jour), elle porte bien son nom de hole pendant que des chefs d’œuvres « taudisiens » (photo ci-Haut) défilent sous nos yeux en direction de la partie ouest de l’ile.

L’arrivée à l’hôtel est brutale, on est bien, pas trop chaud, humidité tolérable, on vous fou un drink dans les mains, il y a un goûter sur une table qui vous attend et un musicien qui vous en mets plein les oreilles. Si je ne me retenais pas, je retournais chez-moi. Si mon corps a le malheur de s’habituer à ça, jamais il ne voudra revenir affronter les rigueurs de l’hiver.

Au retour de la relâche, la chambre des tortures, le sable envahissant et quoi encore

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