Du genre juteuse la Irene ( On prononce Èrine car nous sommes dans l’année des noms anglophones) Comme vous savez on alterne avec des noms anglais, français et espagnols et cette année comme les ouragans (tempête tropicale) nous frappent carré dans face bien c’est avec un nom anglais qu’elle est venue)
Je ne sais pas si Irene a crevée ses eaux dimanche dernier au dessus de chez nous et qu’elle ait par la suite été accoucher quelque part dans le nord mais de l’eau à St-Jean-sur-Richelieu on en a eu. (On a l’habitude après le printemps dernier vous me direz, mais quand même).
Heureusement plus de peurs que de mal, dimanche matin tout ce qui pouvait bouger dans la cour avait été remisé (presque tout, à l’exception de mes poissons rouges dans le bassin).
Comme plusieurs avec qui j’ai communiqué nous avions une crainte en commun, la panne de courant car cela signifie alors que la pompe (sump pump) s’arrête et que le rythme cardiaque s’accélère car on sait que ça veut dire alors qu’on sera dans m…e (misère). Chanceux le courant a tenu et le cœur itou.
En résumé pour moi cela n’a été que du positif, pas de fleurs ou de pelouse à arroser et les véhicules étaient propres le lendemain mais pour d’autres hélas c’est quand ça fini que ça commence et comme j’ai déjà subit à deux reprises les affres d’une inondation, je ne peux que de n’avoir de la sympathie pour eux.
À bien y penser une tempête tropicale c’est dans le sud sa place, sacré nous patience avec ça, nous c’est les tempêtes de neige notre spécialité.
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