mercredi 14 septembre 2011

FRUSTRATION : L’Île de l’horreur


Je ne pensais pas qu’un jour dans ma vie je pourrais craindre une île.
Oui!  J’ai peur de l’île de Montréal

Pas des gangs de rue, pas des squeegees au coin des rues et non plus de la mafia. Non, ce qui m’effraie c’est de la traverser,  maudite île pour ne pas dire l’île maudite. Une île par définition c’est entouré d’eau donc tu y accède par un pont, bien les simonacs  de Bozos ont trouvés le moyen de scraper toutes les accès  (ponts) en même  temps.
Il me semble que tu n’as pas besoin de cours universitaires pour comprendre que si tu décores tout tes accès de cônes orange viarge tu vas avoir un problème.

Et si par malheur tu finis par te rendre sur cette île alors là bonne chance. On exécute des travaux partout et nulle part. Il y a bien des cônes mais les travailleurs souvent y sont absents.
Les yeux plus grands que la panse vous avez déjà entendu ?  À Montréal c’est exactement ce qui arrive avec les travaux routiers.

On investi 110 millions pour améliorer la circulation cet automne pour Montréal. Désolé même avec ce montant il est impossible de greffer des cellules au cerveau  des instigateurs de ce marasme.
Une île une ville ou une île gérer en imbécile ?

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