Si vous êtes comme moi le nom de Mohamed Gamil Gharbi ne me dit absolument rien, par contre il en est tout autrement pour celui de Marc Lépine et pourtant j’ai été surpris d’apprendre qu’on parle ici de la même personne.
J’ai reçu un courriel dont je vous fais part et qui porte à réfléchir.
Pourquoi on n'en a jamais parlé?
Pour vérification des faits vous pouvez vous référer sur Google- Mohamed Gamil Gharbi.
Cette année-là, Marc Lépine, de son vrai nom Mohamed Gamil Gharbi, venait d'avoir ses 25 ans le 26 octobre. Il portait le nom de famille de sa mère québécoise, Monique Lépine, depuis le divorce de ses parents, lorsqu'il avait 13 ans. Son père, Mohamed Rachid Liass Gharbi, était d'origine algérienne arabe musulmane, un fait rarement mentionné...pourquoi???
Le rapport du coroner ne parle pas de la famille Lépine, encore moins du père musulman violent qui ostracisait les femmes. Pourquoi??? Les parents étaient séparés. Dans les lettres qu'il a laissées, conformément à l'éducation paternelle qu'il a reçue, Gamil Gharbi (Marc Lépine) identifiait les féministes comme des ennemies à détruire parce que contraires à l'Islam et il a généralisé ce fait à toutes les femmes.
Pendant les 13 premières années de sa vie, Gamil Gharbi (Marc Lépine) a été violemment endoctriné, programmé selon la doctrine islamiste par son père. Gharbi (Lépine) avait obtenu un permis d'armes à feu émis par la Sûreté du Québec, l'Autorisation d'Acquisition d'armes à feu (AAAF), un certificat obligatoire depuis le 1er janvier 1979 pour l'acquisition d'une arme à feu (en pratique, le permis n'était demandé que lors d'un achat chez un détaillant enregistré et l'arme était alors enregistrée au nom de l'acheteur; mais ces dossiers ont été perdus???). L'arme était une Ruger mini-14 calibre .223 à action semi-automatique. Calibre idéal pour la chasse à la marmotte, au coyote, au raton laveur. Gharbi avait trois chargeurs, deux d'une capacité de 30 coups et un de cinq coups. Une fille a été tuée de 3 coups de couteau (lame de 15 cm), après avoir été blessée par balle.
Lépine a laissé 60 cartouches inutilisées. Toutefois, écrit la coroner, ces meurtres auraient pu être perpétrés au moyen d'autres armes de chasse et Gharbi (Lépine) a tiré plusieurs coups sans atteindre une cible. Mauvais tireur, heureusement.
Gharbi a été décrit comme étant peu communicatif, replié sur lui-même, sauf lorsqu'il parlait d'ordinateurs et d'informatique (un trait commun avec les deux meurtriers de Colombine). Il paraissait insensible, indifférent aux émotions, un des traits caractéristiques de son père violent. L'évaluation psychiatrique parle d'une personne suicidaire, les homicides étant la manifestation élargie de sa volonté de suicide. Ceci caractérise une personne ayant des problèmes graves de personnalité, mais nulle part on ne mentionne l'influence par l'éducation islamiste du père musulman.
Gharbi était sans emploi depuis septembre 1988. À l'automne 1986, il avait été admis à Poly à condition qu'il complète deux cours jugés essentiels. Il en a complété au moins un au cours de l'hiver 88/89.
Gharbi s'était familiarisé avec la Poly. Il y a fait plusieurs visites, dès 1985, mais surtout d'octobre 89 jusqu'à la veille des événements, le 5 décembre. La coroner ne dit pas que finalement Gharbi s'est vu refuser l'admission à Poly ni qu'elles étaient ses relations avec le personnel.
Pourquoi cette enquête incomplète???
Bref, un rapport du coroner incomplet, des rapports de psychiatres voilant son éducation islamiste en bas âge, comme si dans notre société bien-pensante et non imputable, on voulait masquer cette vérité.
Je dédie mon blogue ce matin, à la mémoire de toutes les femmes tuées par la main de l'Islam.
J’ai reçu un courriel dont je vous fais part et qui porte à réfléchir.
Pourquoi on n'en a jamais parlé?
Pour vérification des faits vous pouvez vous référer sur Google- Mohamed Gamil Gharbi.
Cette année-là, Marc Lépine, de son vrai nom Mohamed Gamil Gharbi, venait d'avoir ses 25 ans le 26 octobre. Il portait le nom de famille de sa mère québécoise, Monique Lépine, depuis le divorce de ses parents, lorsqu'il avait 13 ans. Son père, Mohamed Rachid Liass Gharbi, était d'origine algérienne arabe musulmane, un fait rarement mentionné...pourquoi???
Le rapport du coroner ne parle pas de la famille Lépine, encore moins du père musulman violent qui ostracisait les femmes. Pourquoi??? Les parents étaient séparés. Dans les lettres qu'il a laissées, conformément à l'éducation paternelle qu'il a reçue, Gamil Gharbi (Marc Lépine) identifiait les féministes comme des ennemies à détruire parce que contraires à l'Islam et il a généralisé ce fait à toutes les femmes.
Pendant les 13 premières années de sa vie, Gamil Gharbi (Marc Lépine) a été violemment endoctriné, programmé selon la doctrine islamiste par son père. Gharbi (Lépine) avait obtenu un permis d'armes à feu émis par la Sûreté du Québec, l'Autorisation d'Acquisition d'armes à feu (AAAF), un certificat obligatoire depuis le 1er janvier 1979 pour l'acquisition d'une arme à feu (en pratique, le permis n'était demandé que lors d'un achat chez un détaillant enregistré et l'arme était alors enregistrée au nom de l'acheteur; mais ces dossiers ont été perdus???). L'arme était une Ruger mini-14 calibre .223 à action semi-automatique. Calibre idéal pour la chasse à la marmotte, au coyote, au raton laveur. Gharbi avait trois chargeurs, deux d'une capacité de 30 coups et un de cinq coups. Une fille a été tuée de 3 coups de couteau (lame de 15 cm), après avoir été blessée par balle.
Lépine a laissé 60 cartouches inutilisées. Toutefois, écrit la coroner, ces meurtres auraient pu être perpétrés au moyen d'autres armes de chasse et Gharbi (Lépine) a tiré plusieurs coups sans atteindre une cible. Mauvais tireur, heureusement.
Gharbi a été décrit comme étant peu communicatif, replié sur lui-même, sauf lorsqu'il parlait d'ordinateurs et d'informatique (un trait commun avec les deux meurtriers de Colombine). Il paraissait insensible, indifférent aux émotions, un des traits caractéristiques de son père violent. L'évaluation psychiatrique parle d'une personne suicidaire, les homicides étant la manifestation élargie de sa volonté de suicide. Ceci caractérise une personne ayant des problèmes graves de personnalité, mais nulle part on ne mentionne l'influence par l'éducation islamiste du père musulman.
Gharbi était sans emploi depuis septembre 1988. À l'automne 1986, il avait été admis à Poly à condition qu'il complète deux cours jugés essentiels. Il en a complété au moins un au cours de l'hiver 88/89.
Gharbi s'était familiarisé avec la Poly. Il y a fait plusieurs visites, dès 1985, mais surtout d'octobre 89 jusqu'à la veille des événements, le 5 décembre. La coroner ne dit pas que finalement Gharbi s'est vu refuser l'admission à Poly ni qu'elles étaient ses relations avec le personnel.
Pourquoi cette enquête incomplète???
Bref, un rapport du coroner incomplet, des rapports de psychiatres voilant son éducation islamiste en bas âge, comme si dans notre société bien-pensante et non imputable, on voulait masquer cette vérité.
Je dédie mon blogue ce matin, à la mémoire de toutes les femmes tuées par la main de l'Islam.
Excellente syntèse. Questions pertinentes que l'on se doit de poser. Moi je viens tout juste d'apprendre les origines de cet homme. Surprise ?! Oui et non. Ceci n'est pas du jugement facile, mais effectivement, leur appartenance à cette religion machiste ne ressemble en rien à nos principes de valeurs morales et religieuses. Tout changement commence par soi-même, alors dès maintenant je ferais en sorte de rappeler aux autres nos valeurs et la liberté qu'ils apportent pour tous les êtres vivants.
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