vendredi 5 mars 2010

FRUSTRATION : Bâiller aux corneilles


On l’a tous fait et on le refera surement encore, je parle ici de bâiller.

Je suis toujours un peu ennuyé quand quelqu’un me bâille en pleine face et ne met pas sa main devant sa bouche et qu’on essaie par le fait même de m’avaler tout rond. Une autre chose qui n’est plus enseigné aujourd’hui la bienséance.

Quand on était jeune on se le faisait dire par nos parents et nos professeurs (oui, il y en avait qui était ennuyant au point de nous faire bâiller) de mettre notre main devant la bouche lorsqu’on « expandait » nos mâchoires.

Certaines personnes lorsqu’elles baillent si elles n’avaient pas de culottes je pense qu’on verrait la lumière au bout du tunnel.
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Dans l’antiquité Hippocrate pensait que le bâillement permettait l'évacuation de la fièvre, comme une cheminée évacue la fumée et moi qui croyait que c’était pour faire aérer le cerveau.

Le curieux phénomène de l’échokinésie du bâillement, propre à l'Homme et aux grands singes, implique la mise en jeu de circuits neuronaux superposables à ceux activés au cours des processus de l'empathie, comme l'imagerie fonctionnelle cérébrale contemporaine l'a montrée.

L’écho quoi? Ce que le dernier paragraphe essaie de dire c’est arrête de bailler, tu me fais bailler.

De notre premier à notre dernier souffle nous bâillons environ 250 000 fois !

C’est qui le « Gorlo » qui a compté ça?

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